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60′ POUR EVITER UNE CRISE EN COPIL PROJET

60’ POUR ÉVITER UNE CRISE EN COPIL PROJET…
Étude de cas réelle (ps : dites-moi si ce genre d’étude de cas vous intéresse, c’est un ballon d’essai…) : Demande d’un directeur de projet SAP, devant faire face à de grandes tensions entre un DSI et un DAF …Lui au milieu comme directeur de projet…

SUJET TABOU : DTEUR PROJET ET BURNOUT

Le burn-out est une difficulté dont on parle très peu dans le monde projet. Est-ce un tabou ? En quoi les directeurs de projets sont ils plus exposés que d’autres métiers ? Sont-ils aussi bien sensibilisés et formés que les Rh ou des top managers par exemple au Burnout? Y a t-il des risques pour eux mais aussi pour les équipiers de projets ? Quels seraient les premiers niveaux de solution face à cette difficulté que doivent affronter les directeurs de grands projets ?

MANAGEMENT COLLABORATIF & Stés LIBÉRÉES

MANAGEMENT COLLABORATIF & Stés LIBÉRÉES

Entreprise libérées ?

Les entreprises libérées ont le vent en poupe. Une de mes clientes RH me parlait de cet exposé d’une thèse d’étudiant, où elle était jury, sur le sujet. Et de l’extraordinaire potentiel de performance qu’elles représentent.

Je ne vais pas reprendre le détail de ce qu’est une entreprise libérée, la littérature est maintenant abondante. Mais elle se résume selon moi par « passer de l’entreprise Comment à l’entreprise Pourquoi ». Plus généralement, j’aime en parler comme d’une entreprise responsabilisante où chacun, de la base à la direction, est responsable de ses choix et de ses actes.

Je peux aussi rappeler ma vision du sujet. J’y crois dur comme fer… pour les nouvelles entreprises start-Up ou PME. Je ne crois pas beaucoup aux grands groupes sur ce mode, ou au passage d’une grande entreprise traditionnelle (+ de 200p) à ce mode. Car cela suppose, outre un remède de nature à tuer le cheval, un lâcher-prise du dirigeant.

Middle aged business executive ponders his next move.

Or par nature, une entreprise n’adoptera un changement radical qu’en mode survie. Si ce n’est pas le cas… Quand aux dirigeants de grands groupes qui lâchent prise…ils ne sont pas sélectionnés pour ça je crois :-> Ou on m’aura menti ! Au mieux verra t’on des parties de grands groupes se transformer de manière éphémère en mode libéré, une mode comme une autre, avant qu’une fusion ou un rachat remette de l’ordre dans tout ça, comme je l’ai constaté dans mon environnement récemment (ou alors des exceptions comme Michelin?…j’ai encore parfois envie d’y croire).

Le bébé et l’eau du bain

bebe coffrePour autant, ne jetons pas le bébé avec l’eau du bain. Je crois très fort à la responsabilisation des personnes, quelque soit leur niveau dans l’entreprise. La logothérapie que je pratique est aussi définie comme l’école de la responsabilisation (face aux traumatismes de la vie mais pas que.). Donc, oui, le concept de l’entreprise libéré est génial.

Mais je préfère faire confiance aux opérationnels, au terrain, plutôt qu’aux dirigeants pour changer le monde et l’entreprise plus généralement. La question est donc comment le terrain peut mener un changement que les dirigeants ne feront pas ?

Management collaboratif

Je crois volontiers que de nombreux managers, opérationnels, aimeraient un fonctionnement plus libéré dans leur équipe. Le management traditionnel est à bout de souffle. Ce dernier ne fonctionne que sur le principe du contrôle, de la lutte des classes plus généralement, et il suffit de se promener dans les entreprises pour voir que la plupart des équipes sont en mode survie. Tout le monde souffre, le manager et les équipes.

A mon sens, le manager d’équipe, et en particulier celui qui manage des cadres mais aussi des non-cadres, a la possibilité de modifier son management et le fonctionnement de son équipe. En descendant son niveau de contrôle doucement, en progressant à petits pas comme ils savent le faire. Il faut juste leur laisser la chance d’introduire une élément nouveau dans un fonctionnement installé. C’est le but des jeux courts en réunion de service. Changer la donne, changer le système, changer le monde.

ps : me demandez pas le sens de la photo ci-dessous. Elle me plait!! C’est tout :-> Un peu de légèreté sans doute…

Frau springt am Strand zwischen fließenden Stoffen

IKIGAI

IKIGAI

« La planète n’a pas besoin de gens qui réussissent. La planète a désespérément besoin de plus de faiseurs de paix, de guérisseurs, de conteurs d’histoires et passionnées de toutes sortes. Dalaï Lama » (suite…)