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DREAM MANAGER

DREAM MANAGER

Je tombe sur Linkedin sur l’article suivant ! Après le Chief Happiness Officer, les Dream Manager  »

« Un américain, Matthew Kelly a inventé le terme de “dream manager”, son cabinet* va jusqu’à proposer des formations certifiantes permettant d’acquérir les compétences d’un bon “manager du rêve”.

Sa fiche de poste : aider les salariés à atteindre leurs rêves personnels.

Le dream manager prend soin des employés en les aidant à concrétiser leurs rêves. Il dispose d’un budget annuel et de moyens alloués à l’accompagnement des projets des collaborateurs : qu’il s’agisse de Paul qui rêve de participer à un marathon, de Stéphane qui veut construire une maison en bois ou de Léa qui veut passer son permis de conduire.

Chaque employé de la société, quelque soit son niveau hiérarchique a la possibilité de rencontrer le dream manager. Celui-ci lui demande de noter ses rêves. Parmi ceci, ils en sélecionnent un et travaillent sur un plan d’action pour l’accomplir. Des entretiens se déroulent ensuite de façon régulière pour gérer l’avancement du projet. Le dream manager ne signe pas seulement des chèques. Il guide les employés dans leurs démarches : pour mettre en place le plan d’actions, pour budgétiser le projet, pour trouver les fonds, etc… »

Mon commentaire sur linkedin « Au delà du bonheur, que je pense effectivement plus lié à son propre développement qu’à son strict environnement, je m’interroge sur mon niveau de responsabilité comme personne. Est-ce vraiment à l’entreprise de réaliser mes rêves ? Ou à moi ? Dois-je attendre l’arrivée du Dream Manager chez mon entité pour passer à l’action ? Si je porte un projet, j’ai le soir, le WE, Un 80%, les étés pour le réaliser non ?

C’est difficile ? Oui, la vie est difficile, réaliser ce qui compte est difficile. Nous ne sommes pas chez Mickey !S’il n’y a pas de Dream manager, je ne fais rien ? Si le dream manager ne valide pas mon projet, je ne fais rien ? Si le dream manager arrête de me soutenir, je m’arrête ?

Eh oh, les gars, faut se réveiller et arrêter de se faire infantiliser ! Vous êtes responsable de vos actions. Si vous ne faites rien, c’est votre responsabilité ! Réaliser votre rêve, c’est votre choix et votre liberté. »

 

 

 

6 BONS N° et 1 TICKET PERDU

6 BONS N° et 1 TICKET PERDU

Vous l’avez compris j’imagine, il s’agit d’une métaphore. Je n’ai pas vraiment gagné au loto ou à l’Euro-millions et perdu le ticket avec les 6 n° (et le complémentaire) !! Non, bien sûr.

C’est pire ! :->

Mes 6 N° gagnants, c’est tout le travail de développement personnel fait ces 20 dernières années, à la recherche d’une réponse à la question « Mais, Diantre, quoi donc suis-je censé faire sur cette terre ? Quel est mon rôle? En quoi puis-je être utile au monde ? »

Nul de pourra me contester que j’ai cherché. N’oublions pas que je suis ingénieur génie Civil à la base. J’ai cherché, j’ai creusé, je me suis fait du mal, je me suis dépassé comme diraient les grands sportifs (que je ne suis pas, mais c’est une autre histoire).

Et Bingo, j’ai trouvé. En créant ET-maintenant, spécialisé dans l’accompagnement des personnes après arrêt (cancer ou burnout), après un petit cancer moi-même, 3 ans de formation logothérapeute, j’ai eu confirmation : Je suis fait pour aider les autres à trouver leur place, à trouver du sens dans leur vie. Paf je touche les 6 N°. Et le complémentaire.

Quand je suis dans ce type d’entretien, je décolle! C’est mon flux, mon activité autotélique, mon kiff, mon héroïne à moi. J’espère y être bon.

Un p… de chemin depuis mon premier job d’ingénieur méthode chez Bouygues !

 

euromiilion grillesLà où j’ai perdu le ticket, c’est que nous ne parvenons pas à en faire une activité viable financièrement. Nous avons eu des personnes, nous avons et nous aurons des personnes en accompagnement. mais pas assez pour en faire un kiff quotidien, dans lequel donner du sens à mon action de tous les jours. J’ai cherché le ticket, on a mouillé le maillot, retourné les meubles, fait du phoning, des conférences, mais il est égaré !

Mais pas perdu. Qui sait, on va peut-être remettre la main dessus. D’ici là, retour vers des activités plus rémunératrices, de conseil en management collaboratif.

 

Dans l’immédiat, inutile de passer sa vie à pleurer sur ce ticket perdu. J’ai quand même touché les 6 N°. C’est énorrrrmmme!! Et si rare. Passer, même furtivement, dans son ikigai, quelle chance j’ai.

Que chacun d’entre vous puisse un jour trouver le sien (et y rester, ça doit être orgaaaasmique!). Bonne quête.